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Coopérations Institutionnelles


1. Système en ville de Bienne

Mercredi 23 février 2010
Peter Walther & Magali Clénin

  • Au niveau du cadre international, il y a une de Salamanque (Unesco 1994)
  • Au niveau du cadre national, il existe la loi sur l'égalité pour les handicapés, LHand (art. 20)
  • Au niveau du cadre cantonal, on tient compte de la LEO (Loi sur Ecole Obligatoire, 2001), et son art. 17
  • Depuis 2008, le canton de Berne a adopté les OMPP et ODMPP

  • Actuellement, 120 mio sont attribués par année pour le canton de Berne, répartis sur les différentes communes. Ainsi la gestion est également différentes que par le passé : on ne regarde plus qui a besoin de leçons particulières mais comment répartir les leçons à disposition.
    • Concrètement dans la Bienne Francophone, on a à disposition 900 leçons (psychomotricité, logopédie, soutien pédagogie ambulatoire, français langue seconde et classe d'intégration) ou 33 postes à temps complet.
    • Dans la réalité, il y a 23 classes d'école enfantine, 60 classes primaires, 36 classes secondaires et 2300 élèves.
    • En créant ce système, l'OMPP a également tenu compte des problèmes économiques.

Discussion par groupes (comment répartir efficacement la dotation prévue) :
  • l'idéal serait de travailler par domaine ou par module et non plus par classe
  • alléger les classes d'élèves et mettre tous les spécialistes à l'intérieur des classes
  • D'après le calcul, ces 900 heures correspondent à 7.5 leçons par semaine et par classe
  • Si les spécialistes entrent dans la classe, certains enseignants devraient aussi s'imprégner de ce qui se fait "autrement" qu'en frontal et sans diversification

La répartition a été faite, et finalement, il reste 300 leçons pour le primaire.
Pour le reste, voir le document de présentation avec les tableaux de répartition.



2. Système dans le Canton de Neuchâtel

Mercredi 2 mars 2010
Daniel Marthe
Responsable de l'enseignement spécialisé au sein du Service de l’enseignement obligatoire

Dans ce cours, après une longue description sur le trajet de l'intervenant, nous partons sur une activité qui sort un peu du cadre du cours (tel qu'il était prévu).

Objectifs :
Répondre individuellement aux deux questions suivantes :
1. Pour moi, qu'est-ce qui caractérise l'enseignement spécialisé ?
2. Quelle ma meilleure expérience professionnelle (essentiellement positive) dans le domaine de l'enseignement spécialisé ?

Organisation
  • Groupes de 4 personnes
  • Une personne raconte, une autre résume ce qu'elle vient d'entendre (à propos des deux questions). Il peut être judicieux de prendre quelques notes ou mots-clefs, mais il n'est pas question de lire le résumé.
  • Retour en plenum, la personne qui résume prend la parole à la place de l'autre et s'exprime en "JE"
  • Il est important de ne prendre aucun soutien auprès de la personne qui a raconté au départ

Le pourquoi de cette démarche et (mon) feed-back
  • Est-ce que la reformulation de ce qui a été a mis en scène ou traduit un élément sous-jacent que je m’approprierais si j’avais à le mettre en pratique ou en valeur
  • Lorsque l’on écoute l’autre pour faire son résumé, est-ce qu’on l'a aussi questionné pour bien le comprendre, tout comprendre
  • lors du retour à l’ensemble du groupe, être capable de s’exprimer en « je » au niveau du ressenti propre (qu’est-ce que j’ai ressenti dans telle situation, qu’est-ce que j’ai fait, quel plaisir j’ai eu, etc. ?)
  • faut-il se souvenir ? faut-il inventer ? faut-il s'impliquer soi-même (c'est-à-dire en répondant avec ce que l'on pense nous ressentir dans une telle situation ?

Feed-back de Daniel Marthe
  • il y avait une approche assez "scolaire" de prise de note des interventions dans les groupes pour la question 1.
  • lors des échanges, il y avait une technique de reformulation (plus que par souci de scolaire, c'est plutôt par respect de la personne que l'on représente)
  • le "je" n'est pas facile à utiliser, quelques fois il se transformait même en "on". Mais en tout cas, il était bien moins évident de se référer à des notes pour la question 2
  • Certaines interventions ont été retraduites avec beaucoup de fidélité pour une part et d'autres ont été surpris de ce qu'on a dit "à l'heure place"
  • L'étonnement se situe avant tout dans l'aspect émotionnel qu'on a pu percevoir un décalage (c'est une manière un peu schyzophrénique de fonctionner).
  • Malgré le fait que ce n'était pas de cette manière que j'aurais reformuler mes émotions, ma perception, etc., suis-je totalement réfractaire à la manière dont on a traduit "mes émotions" ou est-ce que je peux me les approprier.
  • Si on y réfléchit, cette situation arrive constamment dans le cadre des réseaux, lorsque l'on reformule des choses à la place de la famille, par exemple. Quand ça nous concerne nous-mêmes on se sent plus touché.
  • C'est une invitation à se faire des représentations. On sait que professionnellement, lorsque l'on est en relation, il faut que l'on soit vigilent, il faut percevoir les inconforts lorsque l'on prête des intentions aux autres.
  • Comment se prémunir de cet état de fait ?
    • rester dans le fait de relater des observations sans énoncer d'interprétation
    • pour compléter ces observations, on peut entrer dans le domaine des hypothèses avec l'ensemble des partenaires
  • L'une des caractéristique fondamentale de l'enseignement spécialisé, c'est la qualité relationnelle (être capable à l'ouverture personnelle, en continuel développement)
  • Dans une démarche professionnelle on doit pouvoir poser nos émotions et réussir aussi à nous détacher de notre déterminisme (utile pour certains rituels de la vie, mais pas forcément au point de vue professionnel).

Voilà.... à ce moment-là je décroche.... théorie, théorie, phrases types lancées à la hache....
Qu'est-ce qui fait que je décroche ? A quel moment je décroche ? .... j'écoute à la volée quelques mots :
"nous sommes des co-auteurs de sens" ... "pour rester dans l'action dynamique professionnelle" ... "une représentation conceptuelle de l'autre" .... "combiner une nécessité de stabilité avec un postulat de transformation" ... "ce qui est imprévu n'est pas encore défini" .... "les dispositions d'une posture individuelle"

Les dernières 20 minutes seront difficiles, en frontal, l'enseignant parle et les étudiants écoutent (ou somnolent, ou travaillent derrière leur écran à d'autres activités, certains dessinent, d'autres surfent sur facebook, utilisent leur mobile, lisent des textes d'autres cours, certains baillent, chuchotent avec leur voisin, ... je ne suis pas la seule à décrocher)


3. Les cercles d'apprentissages et d'inclusion : comment développer les stratégies liées à l'écrit dans les différentes matières au programme du secondaire ?

Nacy Granger (Doctorante universtité de Sherbrooke)








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